Nicolas, débutant à 30 ans.
Nicolas, enseignant, a découvert tardivement le rugby. Après avoir longtemps apprécié les matchs du Tournoi, il a eu l’opportunité de renconter un joueur confirmé et c’est en accompagnant régulièrement cet ami lors de ses déplacements qu’il a osé franchir le pas.
Il reconnaît que l’appréhension la plus forte se situe au niveau des contacts et notamment du plaquage même si, plus jeune, il a pratiqué le hand-ball. Il évoque également la difficulté des règles qui sont assez complexes mais, justement, rendent le rugby particulièrement attractif et intéressant à ses yeux de néophyte de l’ovalie.
Alors, effectivement, ce n’est pas évident de rentrer en rugby après l’âge 30 ans mais le club qui l’a accueilli, club de 1ère série, est composé de joueurs d’expérience qui ont su lui donner confiance. Il doit maintenant retrouver un bon niveau d’endurance afin de suivre le rythme d’un match de 1ère série.
Cette année 2009/10 est donc la première de sa toute jeune carrière, à 30 ans, mais la passion l’a gagné et il compte bien poursuivre.
L’USAP peut-il rêver de phases finales pour la première fois depuis 2010 ?
La semaine précédente, nous évoquions « La Magie de l’USAP » par Laurent Bellet, qui louait l’état d’esprit et la ferveur du rugby catalan dans l’antre d’Aimé Giral. En déplacement à Montpellier…