Louis est 3/4 au sein de l’équipe de rugby de l’IPSA, dont Branchezrugby est sponsor maillot. Il participe pour la première fois aux Ovalies et a hâte d’un découdre… et de profiter de l’ambiance.
Branchezrugby – Quel est ton parcours rugbystique ? comment as-tu commencé le rugby à l’IPSA ?
Louis – J’ai commencé le rugby à 12 ans au Mans. J’ai ensuite joué à Montauban et en Bretagne jusqu’à intégrer l’IPSA. Dans ma promo, on était pas mal de joueurs et ça a pas mal relancé l’équipe de rugby de l’école : on a commencé à améliorer nos résultats, notamment grâce à l’apport de Toulousains.
Cette année, on était en Honneur (division universitaire) : la poule était assez relevée mais on réussit à finir 3ème et donc on remonte en Ovale U !
Branchezrugby – Comment est gérée l’équipe ?
Louis – On est complétement en auto-gestion. Les joueurs qui ont évolué en club (une quinzaine environ) expliquent et forment les débutants, un peu comme un tutorat. Les anciens donnent des programmes cardio, des exercices de préparation physique aux néophytes. Ce qui est super intéressant, c’est qu’en école d’ingénieurs les joueurs assimilent très vite, même en étant débutant. A l’inverse, le côté négatif est que beaucoup se blessent assez tôt dans la saison, parce qu’ils n’ont pas la bonne technique de plaquage par exemple.
Mais ce qui me frappe le plus c’est la façon dont tout le monde se défonce sur le terrain, même les débutants ! Je crois que c’est parce que le rugby est un moyen de compresser, de se défouler.
Branchezrugby – Quelles sont vos objectifs pour les Ovalies ?
Louis – On aimerait battre certaines équipes (ESME ou ESTACA notamment) mais on est surtout là pour s’amuser. Le côté festif est important dans ce tournoi. D’ailleurs, on a une vingtaine de supporters qui viennent (des champions du monde) et une équipe de pom pom girls.
Branchezrugby – Quel est ton avis sur l’équipe de France, le rugby pro au niveau mondial ?
Louis – Franchement, le Tournoi de l’équipe de France est pas si mal mais il va falloir attendre quelques années avant que cela fonctionne vraiment. On n’a pas de star mondiale, de joueurs qui font peur aux adversaires.
En Top 14, on est bien contents d’avoir toutes ces stars, même si ce n’est pas toujours du beau rugby. Après, honnêtement, je prend plus de plaisir à regarder le Super 15 ou la Premiership.
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