Top 14
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Finale de Top 14 : que disent les stats ?

Bernard Le Roux of Racing 92 during the European Rugby Champions Cup Quarter Final between Racing 92 v RC Toulon at Stade Yves Du Manoir on April 10, 2016 in Paris, France. (Photo by Dave Winter/Icon Sport)

La première finale délocalisée de l’histoire du Top 14 garde sa part de mystère. Bien malin celui qui saurait prédire avec certitude son issue : le Racing débarque en Catalogne avec des phases finales compliquées dans les pattes mais aussi avec une énergie et une dynamique incroyable tandis que Toulon sera moins touché physiquement. Revue des forces en présence !

La forme du moment

Le Racing 92 reste sur 5 victoires consécutives. Il n’a plus perdu depuis sa finale malheureuse de Champions Cup. Mais l’effectif a été durement mis à l’épreuve par un barrage compliqué face à Toulouse et surtout par une demi-finale qui a duré 100 minutes et avait une intensité incroyable.
Toulon n’a pas la même série de victoires (4 tout de même sur les 5 derniers matchs) mais a pu se reposer pendant les barrages et a surtout facilement maitrisé son match contre Montpellier.
Toulon 55% – Racing 92 45%

Les confrontations directes

En ouverture de la saison, les Racingmen avaient signé un grand coup en s’imposant à Mayol 22-27. Mais les Varois se sont vengés par la suite à gagnant à Colombes, grâce à une pénalité de Michalak à la 80ème minute. Et sur le match qui compte véritablement jusqu’alors, le quart de finale de Coupe d’Europe, ce sont les Franciliens qui l’ont emporté, d’un cheveu une nouvelle fois (19-16).
Les confrontations ont donc toutes été particulièrement serrées et sont donc jouées en fin de rencontres.
Toulon 40% – Racing 92 60%

Les joueurs

Les 2 clubs ont retrouvé leur buteur attitré pour les phases finales : Halfpenny côté Toulon, Carter côté Racing. Tous les joueurs-cadres, ou presque, seront présents vendredi : il manquera bien sûr Nonu, suite à son KO, et Vermeulen. Le retour d’Armitage au top niveau et l’énorme forme de Fernandez-Lobbe vient cependant largement compenser l’absence du numéro 8.
Les Racingmen n’ont finalement pas eu de blessés sur la demi-finale : presque un miracle vue son intensité et sa durée. L’infirmerie est donc vide ou presque. Et son quatuor offensif tourne à plein régime !
Toulon 50% – Racing 92 50%

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