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Comme l’écart de points entre Toulouse et Oyonnax à l’issue de ce match de barrage gagné par les joueurs de Guy Novès (20-19). Oyo n’est pas passé loin de l’exploit et a montré qu’un rugby basé sur les fondamentaux était toujours d’actualité en 2015, comme l’a si bien dit l’entraineur toulousain au micro de Canal Plus.
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Finalement, les 2 clubs évoluant à domicile se sont imposés, contrairement à l’année dernière. Si Paris n’a jamais été inquiété (victoire 38-15), Toulouse s’est vraiment fait peur !
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Pour la 4ème fois en 5 participations à un match de barrage, le Racing-Métro 92 s’incline. Décidément, cette équipe, si séduisante sur le papier, n’arrive pas à franchir le cap : une remise en question s’impose peut-être à l’inter-saison.
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Comme la moyenne d’âge de la première ligne toulousaine en fin de la rencontre. Les jeunes Julien Marchand, Dorian Aldegheri et Cyril Baille ont parfaitement pris le relais de leurs aînés titulaires, tous internationaux étrangers, en difficulté face au pack oyonnaxien. Baille a même marqué l’essai de la victoire.
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Comme le nombre de saisons qu’aura disputé Guy Novès avec son club de toujours, avant de devenir entraîneur de l’équipe de France. Très certainement un record en France, tous sports confondus ! Ce match de barrage était son dernier à Ernest Wallon.
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Comme le nombre de points marqués par Morne Steyn, lors du match opposant Paris au Racing, un record dans un match de barrage de Top 14. Le demi d’ouverture international a parfaitement pallié l’absence de Plisson et a prouvé que, malgré 2 saisons parisiennes en demi-teinte, il était une valeur sûre.