0
Comme le nombre d’essais marqués lors de cette finale. Une finale particulièrement fermée et quelque peu ennuyante : il faut remonter à 1997 pour voir une finale avec aussi peu de points marqués et à 2012 une finale sans essai !
2
Comme le nombre de finales perdues par Clermont cette saison. Les Auvergnats connaissent une nouvelle saison ingrate. Pour certains joueurs, comme Rougerie, il s’agit même de la 5ème finale de Top14 perdues !
5
Comme le nombre de joueurs appelés par PSA titulaires lors de cette finale. Kayser et Papé étaient remplaçants, Fofana et Nakaitaci blessés, Debaty n’était même pas dans les 22 !
8
8 ans après son dernier titre, le Stade Français est de nouveau champion de France ! La toute première participation à une phase finale depuis 2007 aura été la bonne. Les Parisiens ont affiché une forme et un mental exceptionnel sur la dernière ligne droite. Ils ont aussi peut-être profité un peu de la fatigue de leurs adversaires qui, contrairement à eux, avaient tous disputé la Champions Cup (Racing jusqu’en quart, Toulon et Clermont en finale).
14
Comme le nombre de titres désormais au palmarès Stade Français.
20
Comme le nombre de turnovers réalisés par Paris, contre seulement 9 pour l’ASM. Un moyen détourné de rendre hommage à Antoine Burban, le meilleur joueur tous clubs confondus sur ses phases finales. Le Parisien est partout : attaque, défense, ruck.
40%
Le taux de réussite des buteurs de l’ASM, contre 67% pour Morne Steyn. 3 buteurs se sont succédés côté jaunard : Parra a râté ses 2 tentatives, Lopez a passé la sienne et Brook James a signé un 1 sur 2. Plus que ce taux, trop faible pour espérer gagner une finale, c’est le timing des échecs face aux perches qui coule les Clermontois : Parra aurait pu faire mener son équipe 6-0 et le Sud-Af’ a manqué la pénalité de l’égalisation à la 70e !