A ne pas lire dans l’équipe du samedi l’article consacré à Mathieu Bastareaud et à ses démêlés en Nouvelle Zélande. Bien sur cela a fait un peu désordre cet été et cela s’ajoute à d’autres contentieux plus importants les essais atomiques dans le pacifique dans les années 70 et 80 et l’affaire du Rainbow Warrior. Néanmoins la leçon de morale du journaliste de l’équipe sur la nécessaire vérité à afficher quand on est joueur professionnel ou entraîneur ou président de la FFR est affligeante. Cette leçon de morale est affligeante parce qu’elle est finalement complaisante. Complaisante parce que le journaliste ne mène pas une enquête approfondie sur les faits et qu’il se contente de souligner que ce n’est pas raisonnable à l’heure du rugby professionnel. Finalement en lisant l’article on s’aperçoit que ce que regrette le journaliste c’est de finalement pas être au courant facilement des faits et notamment des plus croustillants. Dommage car sur le fond Mathieu Bastareaud va passer en commission. La famille du rugby a l’habitude de ce genre d’histoire au retour de chaque tournée : la bagarre dans un bar en Afrique du Sud, la mort en tournée d’un pilier après une soirée très arrosée…et ne devrait pas être trop sévère avec le joueur. Mais ce qui se dira restera dans le vestiaire et il n’est pas sur que la famille du rugby soit dans le temps aussi complaisante que le laisse entendre le journaliste de l’équipe dans son article.
Le calendrier du Tournoi 2025 du XV de France Féminin
Encore largement battue en septembre en Angleterre (38-18) dans un match de préparation avant le Women XV au Canada, le XV de France Féminin retrouvera leur bête noire en avril…